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Recherches bibliographiques pour l'article Ordre teutonique[modifier | modifier le code]

{{Chapitre |langue= |langue originale= |auteur1= |titre chapitre= |auteurs ouvrage= |titre ouvrage= |lieu= |éditeur= |année= |isbn= |lire en ligne= |passage= }} {{Article |langue= |auteur1= |titre= |périodique= |volume= |numéro= |date= |pages= |issn= |e-issn= |lire en ligne= |consulté le=15 mars 2024 |id= }}.

Adam Kożuchowski, « The Devil Wears White: Teutonic Knights and the Problem of Evil in Polish Historiography », East Central Europe, vol. 46, no 1,‎ , p. 135–155 (ISSN 1876-3308 et 0094-3037, DOI 10.1163/18763308-04601008, lire en ligne, consulté le ) SOURCE INTERESSANTE RELATIVE à l'historiographie polonaise dans son ensemble, pas seulement après la deuxième guerre mondiale // article en allemand sur Ordre teutonic comprend plusieurs paragraphes sourcés sur l'historiographie polonaise

  • Anti Selart, « Popes and Livonia in the First Half of the Thirteenth Century: Means and Chances to Shape the Periphery », The Catholic Historical Review, vol. 100, no 3,‎ , p. 437–458 (ISSN 1534-0708, lire en ligne, consulté le ) (sur ordre porte-glaive + ordre teutonique (p. 447). Disponible sur Jstor.
  • (en) Kristjan Toomaspoeg, « The military orders and the diocesan bishops: a pragmatic relationship », Ordines Militares Colloquia Torunensia Historica. Yearbook for the Study of the Military Orders, vol. 23,‎ , p. 93–125 (ISSN 2391-7512, DOI 10.12775/OM.2018.004, lire en ligne, consulté le )
  • « Chivalry, crusade and romance on the baltic frontier », Mediaeval Studies, vol. 2011, {{Article}} : paramètre « date » manquant. Malgré son titre, bonne source pour article à partir de la page 292 et suivante. Disponible sur bibliothèque wikimedia ////
  • Tout le numéro de 2011 de Ordines Militares Colloquia Torunensia Historica qui est intéressant comme source secondaire : https://apcz.umk.pl/OM/issue/toc/438

aRule and Identity: The Case of the Military Orders : Spiritualité de l'ordre teutonique . maintien de la tradition hospitalière (en) Nicole Eaton, « The Bridge and the Bulwark », dans Nicole Eaton, German Blood, Slavic Soil : How Nazi Königsberg Became Soviet Kaliningrad, Ithaca, N.Y, Cornelle University Press, , p. 15-45

(en) Nicole Eaton, « The Bridge and the Bulwark », dans Nicole Eaton, German Blood, Slavic Soil : How Nazi Königsberg Became Soviet Kaliningrad, Ithaca, N.Y, Cornelle University Press, , p. 15-45 // I found it on Brill

Invitation de l'ordre teutonique[modifier | modifier le code]

À Rome, Christian d'Oliva avait fait la connaissance d'Hermann von Salza, Grand Maître de l'Ordre Teutonique de 1209 à 1239. Avec la permission du duc Conrad de Mazovie et de la noblesse de Mazovie, Christian demanda l'aide de l'Ordre Teutonique contre les Prussiens en 1226. La stabilité avec les Prussiens permettrait alors à Conrad de devenir grand-duc de Pologne[1]. Bien qu'intéressé par l'offre polonaise, Hermann von Salza avait pour priorité de soutenir r Frédéric II, empereur du Saint-Empire romain germanique, dans sa cinquième croisade. Par ailleurs, l'Ordre Teutonique d'être été expulsé du Pays de la Bârsa (Royaume de Hongrie) par les troupes d'Hadrien II, Hermann von Salza est décidé à obtenir des garanties solides d'implantation durable et de souveraineté en compensation de l'engagement militaire de l'ordre teutonique dans la région.

Hermann rencontra Frédéric II à Rimini et suggéra que l'assujettissement des Prussiens rendrait les frontières du Saint Empire romain germanique plus faciles à défendre contre les envahisseurs, faisant vraisemblablement référence aux contre-attaques lituaniennes contre les croisades chrétiennes. L'empereur romain germanique a donné son approbation à l'entreprise dans la Bulle d'or de Rimini de 1226, leur accordant la terre de Chełmno, ou Culmerland, et toutes les conquêtes futures. La mission de convertir les Prussiens resta sous le commandement de l'évêque Christian d'Oliva. [2]

Avant de commencer la campagne contre les Prussiens, l'Ordre Teutonique aurait signé le Traité de Kruszwica avec les Polonais le 16 juin 1230, par lequel l'Ordre devait recevoir le fief de Chelmno et toutes les conquêtes futures depuis ce territoire, dans des termes similaires à ceux de la Bulle d'or de Rimini. L'existence du Traité de Kruszica a été remises en cause par différents historiens et en particulier l'historiographie polonaise ; le document a été perdu et nombreux sont ceux ayant ont douté de son authenticité et la validité des revendications territoriales ultérieures de l'Ordre teutonique. Cependant, des études récentes WHENmenées par des historiens polonais ont établi la légitimité du traité[3]. A VERIFIERDu point de vue du duc Conrad, Chelmno ne devait servir que de base temporaire contre les Prussiens et les conquêtes futures devaient être sous relever de sa propre autorité Cependant, Hermann von Salza considérait le document comme accordant à l'Ordre la suzeraineté sur toutes les acquisitions territoriales ultérieures, sans intermédiaire hormis l'allégeance de l'ordre au Saint-Siège et à l'empereur romain germanique [4]. La Bulle d'Or de Rieti publiée par le pape Grégoire IX en 1234 réaffirme le contrôle de l'Ordre sur les terres conquises, les plaçant uniquement sous l'autorité du Saint-Siège .A VERIFIER

de 170 000 habitants, soit moins que celle suggérée par le chroniqueur du XIVème siècle Pierre de Duisbourg[5].

Recherches bibliographiques pour l'article Attirance envers les personnes transgenres[modifier | modifier le code]

  • (en) Lanna J. Petterson et Paul L. Vasey, « Samoan Men’s Sexual Attraction and Viewing Time Response to Male-to-Feminine Transgender and Cisgender Adults », Archives of Sexual Behavior, vol. 50, no 3,‎ , p. 873–884 (ISSN 1573-2800, DOI 10.1007/s10508-020-01905-6, lire en ligne, consulté le )
  • (en) Lanna J. Petterson et Paul L. Vasey, « Men’s Sexual Interest in Feminine Trans Individuals across Cultures », The Journal of Sex Research, vol. 59, no 8,‎ , p. 1015–1033 (ISSN 0022-4499 et 1559-8519, DOI 10.1080/00224499.2021.2013429, lire en ligne, consulté le )
  1. Christiansen, p. 82
  2. Christiansen, p. 83
  3. Dariusz Sikorski, 'Neue Erkenntnisse ueber das Kruschwitzer Privileg' in Zeitschrift für Ostmitteleuropa-Forschung, 51 (2002), p. 317-350
  4. (en) Oskar Halecki, A History of Poland, New York, Roy Publishers, ([1]])
  5. Urban, p. 43